PUNO 3850 m : Le petit port de Puno est le point de départ pour visiter les îles du lac. La ville n'a pas beaucoup d’intérêt à part sa cathédrale et sa rue piétonne très animée. Nous avons assisté au très beau carnaval de la "Virgen de la Candéleria" l'un des plus important du Pérou. Malheureusement nous avons perdu la plupart de nos photos .
La vierge et la cathédrale.
Le lendemain départ pour les iles qu'ils construisirent pour fuir d'abord les incas puis les espagnols. Aujourd'hui une centaine de personnes vit tant bien que mal de la pêche et du tourisme.Ces iles sont fabriquées avec des roseaux (totora) qui poussent dans le lac et qui servent aussi à construire leurs maisons leurs bateaux et de l'artisanat. Elles se composent de plusieurs couches de totora, sans cesse complétées en surface à mesure que les couches inférieures pourrissent. Leur sol est souple et elles ont une durée de vie de 30 à 40 ans. Un labyrinthe de chenaux étroits à travers les roseaux mèneà ces iles. Quand le bateau accoste, nous sommes accueillis par des femmes et des enfants aux costumes colorès. Bien sur ils sont là pour nous et c'est leur gagne pain, mais ca reste un moment unique et magique.
TAQUILE
Puis à une heure de là se trouve l'ile de Taquile (pas flottante) 2000h. 3950m: Elle ne fait que 7 km, mais ça grimpe dur pour ateindre le village et a cette altitude c'est épuisant. Il faut prendre son temps, s'asseoir sur les murets de pierres pour retrouver son souffle. Nous en profitons pour contempler le lac. La luminosité de l'altiplano fait ressortir les couleurs et la visibilité porte sur les sommets enneigés de la cordillère bolivienne. Un spectacle sublime. Des terrasses incas s'étagent sur les versants de l'île et l'on croise quelques habitants en tenue locale qui vivent ici pratiquement en autarcie. Le retour se fait de l'autre coté de l’île en descendant plus de 600 marches incas ( C'est à dire irrégulières et très hautes) pour atteindre le petit port de départ. Nous y croisons les habitants qui arrivent de Puno chargés comme des baudets avec parfois en plus pour les femmes leurs enfants dans les bras. Ils ont une résistance que nous n'avons pas.
Un petit air de méditerranée
Les bonnets Andins
Anita et son petit frère
Elle ne voulait plus nous quitter
Je file.....doux. Ici les femmes filent........
600 marches de pierres irrégulières pour descendre au petit port prendre notre bateau. A l'allée nous avons accosté de l'autre coté de l’île pour atteindre le village par un chemin montant plus facile d’accès.
Les enfants scrutent l'horizon pour annoncer l'arrivée des touristes
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Le lendemain départ pour les iles qu'ils construisirent pour fuir d'abord les incas puis les espagnols. Aujourd'hui une centaine de personnes vit tant bien que mal de la pêche et du tourisme.Ces iles sont fabriquées avec des roseaux (totora) qui poussent dans le lac et qui servent aussi à construire leurs maisons leurs bateaux et de l'artisanat. Elles se composent de plusieurs couches de totora, sans cesse complétées en surface à mesure que les couches inférieures pourrissent. Leur sol est souple et elles ont une durée de vie de 30 à 40 ans. Un labyrinthe de chenaux étroits à travers les roseaux mèneà ces iles. Quand le bateau accoste, nous sommes accueillis par des femmes et des enfants aux costumes colorès. Bien sur ils sont là pour nous et c'est leur gagne pain, mais ca reste un moment unique et magique.
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Puis à une heure de là se trouve l'ile de Taquile (pas flottante) 2000h. 3950m: Elle ne fait que 7 km, mais ça grimpe dur pour ateindre le village et a cette altitude c'est épuisant. Il faut prendre son temps, s'asseoir sur les murets de pierres pour retrouver son souffle. Nous en profitons pour contempler le lac. La luminosité de l'altiplano fait ressortir les couleurs et la visibilité porte sur les sommets enneigés de la cordillère bolivienne. Un spectacle sublime. Des terrasses incas s'étagent sur les versants de l'île et l'on croise quelques habitants en tenue locale qui vivent ici pratiquement en autarcie. Le retour se fait de l'autre coté de l’île en descendant plus de 600 marches incas ( C'est à dire irrégulières et très hautes) pour atteindre le petit port de départ. Nous y croisons les habitants qui arrivent de Puno chargés comme des baudets avec parfois en plus pour les femmes leurs enfants dans les bras. Ils ont une résistance que nous n'avons pas.
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Un petit air de méditerranée
Anita et son petit frère
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......et les hommes et les garçons tricotent des bonnets.
600 marches de pierres irrégulières pour descendre au petit port prendre notre bateau. A l'allée nous avons accosté de l'autre coté de l’île pour atteindre le village par un chemin montant plus facile d’accès. |
Les enfants scrutent l'horizon pour annoncer l'arrivée des touristes
1 commentaire:
Raymond et mireille vous remercient de leur faire partager votre beau périple autour du monde malgrès quelques petits travers social et santé. Vous nous faites réver.Prévoir un livre avec commentaires et si belles photos !
A bientôt.
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