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C'est la deuxième capitale la plus élevée du monde après La Paz en Bolivie. Située à la base du volcan Pinchincha que nous n'avons pas aperçu à cause des nuages, la ville s'étire en étendant ses quartiers populaires sur les flancs des collines verdoyantes enchevêtrées les unes dans les autres et souvent noyées dans les nuages. Le Quito moderne: De grands immeubles, des avenues bien droites au trafic intense, des
quartiers branchés avec des bars, des restaurants de toutes sortes et des boutiques de luxes. Beaucoup de jeunes étrangers sont ici pour apprendre la langue et fréquentent ces lieux. Le Quito colonial: C'est le quartier historique inscrit au patrimoine de l'humanité. On y découvre de nombreuses églises aux façades ouvragées, de beaux immeubles rococos, des balcons de fer forgé chargés de pots de fleurs et de drapeaux. l'ambiance reste populaire et indigène. Ici pas de belles vitrines mais des marchants ambulants, des petits cireurs et des artisans. Beaucoup de touristes des pays voisins et bien sûr des mendiants mais la police est omni présente et nous pouvons même bénéficier d'un policier si nous le désirons. Ça grouille, ça travaille mais le soir c'est une ville morte.
Plaza de la Indépendencia où se trouve la cathédrale du XVIe siècle et le palais du gouverneur
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Belles façades patinées par le temps |
On décide de prendre de la hauteur avec le téléférico pour être au plus prés du volcan Pinchincha
La ville de Quito nous apparaît toute entière, figée calme et toute blanche dans son écrin de montagnes.
La vierge de Quito de la haut veille sur la ville. |
A 4100m il fait très froid et le souffle est court |
Descente dans les nuages |
Un petit bout de la ville se dévoile |
Notre studio bien chauffé que nous retrouvons avec plaisir le soir après nos froides escapades de la journées. |
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